Marie-Christine, bourgeoise qui veut se faire péter la fente comme une pute
C’est peut-être triste à dire à mon âge, 51 ans. Moi, Marie-Christine, une femme bourgeoise blonde, respectable, ne s’est jamais fait péter la fente comme une pute. Lorsque j’ai vu l’adresse de ce site de rencontres pour la première fois, je n’en croyais pas mes yeux. Au début, j’ai trouvé ça irrespectueux et dégradant pour la femme. Et puis, en faisant un peu le point dans ma vie sexuelle, je me suis rendue compte que nous les femmes, on aime bien se faire baiser comme des chiennes. Tant que ça reste dans un cadre privé. Tant que ça ne dépasse pas les frontières dans le lit, c’est vrai qu’on préfère se faire baiser que de faire l’amour.
Mon divorce, c’était peut-être le moment idéal pour proposer à des hommes ici des rencontres d’un soir. Juste pour me faire péter la fente, me faire ramoner la rondelle comme jamais. Oui, j’assume de vouloir trouver un étalon pour me péter la chatte comme une pute. Sans la partie échange d’argent, j’ai juste envie de me faire baiser comme si j’étais un objet sexuel. Sans considération, sans tendresse ni romantisme, je veux être ta bourgeoise à qui tu mets une belle cartouche. Disponible du lundi au dimanche, je reçois sans mon appartement de la rue Verneuil dans le 7ème arrondissement de Paris.
Merci pour l’hygiène, la bonne tenue et la bienséance. Niveau préservatifs, j’ai tout ce qu’il faut à la maison. Prenons une petite coupe de champagne, dégustant quelques toasts de foie gras et passons vite aux choses sérieuses.
Marie-Christine